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IcI .:. MaInTeNaNt
3 octobre 2007

C'est toujours pour toi, même quand ça n'est pas de moi...

Ailleurs

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Il y a un ailleurs où tu es
Mes yeux veulent voyager
Pour découvrir cet ailleurs
Malgré le bruit autour
Je pourrais un jour te découvrir
Ou alors t’appeler
Jusqu’à ce que tu détourne la tête
Vers ma vie et mes larmes
Il y a un ailleurs où tu es
Mes yeux me piquent
De ne pouvoir te regarder
J’ai mal à la tête si souvent
J’avais tant de choses à te dire
Que ça tourne en rond dans ma pauvre tête
Il y a un ailleurs où tu es
Je dormais quand tu étais là
Et maintenant je ne me souviens plus
De ma dernière nuit remplies de rêves
Il y a un ailleurs où tu es
Et je ne sais même pas
Où il se situe réellement
Où tu allais je devais te suivre
Il y a un ailleurs où tu es
Ceux qui captent tes rayons
Ont-ils vraiment mérité ta présence ?
Personne ne t’aimera comme je t’aime
C’est en vain que j’écris ça
Il y a un ailleurs où tu es
Ai-je le droit de te chercher ?
Pour te donner ce baiser, ce dernier baiser
Pour te dire au revoir, sois heureuse
Il y a un ailleurs où tu es
Et je n’y suis pas

Dan Garan 26 juin 2007

Ta présence

Les_mains

Ta présence, ton désir sont contre un trait de lumière.
Ton corps éclaire la substance de mes envies intimes.
J’aime la couleur des nos corps mélangés, l’odeur de nos soupirs.
J’aime tes mots doux murmurés, ceux écrits.
J’aime mes invitations à ton plaisir.
J’aime quand tu me guides vers la douceur de ton être.
Regarde, je souris car si je goûte à toi, je goûte au paradis.
Dans nos regards mélangés: de l’émotion, du désir, de la tendresse, de
la joie et puis ensuite du plaisir lié de la fusion de nos corps.
Attends moi, je viens contre toi. J’y reste.

Lannuon © Dan Garan

Libre de t'aimer

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Pour ces mots que je pensais si fort
Et que je t’ai donné, envolés comme des oiseaux
Je me sentais libre de t’aimer, de t’entraîner
Quelle est cette rengaine, celle qui me lasse ?
Pour ces rêves que je rêvais si fort
Dont tu étais le personnage principal, la substance vitale
Je me sentais libre de te les raconter, chaque soir
Quelle est cette rengaine, celle qui me fâche ?
Pour cet amour que j’ai eu pour toi
Je me sens maintenant prisonnier à jamais
Quelle est cette vie sans toi ?
Comme derrière des barreaux pour un peu d’amour
Une loi sans issue, une voix perdue dans la nuit
Une rue qui tourne en rond, une journée de plus
Ça me pique encore et toujours la au milieu …
Et moi je t’aime encore

Lannion le 11 Septembre 2007
© Dan Garan

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Commentaires
W
Et pour tous ces "peut être" jetés au vents,je n'ai gardé qu'une lettre adressée au néant...
D
j'aime beaucoup les photos illustrant ces mots ...<br /> le ailleurs peut effectivement résumer ce que je ressens parfois ... comme si j'étais pas sur cette terre mais ailleurs !<br /> <br /> DanG
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